Stéphane Mallarmé

 

 

VARIATIONS SUR UN SUJET

XI. – Le Mystère, dans les Lettres

 

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Texte zur Mallarmé-Rezeption

 

De pures prérogatives seraient, cette fois, à la merci des bas farceurs


– Tout écrit, extérieurement à son trésor, doit, par égard envers ceux dont il emprunte, après tout, pour un objet autre, le langage, s'il traîne présenter, avec les mots, un sens même indifférent: on gagne de détourner l'oisif, charmé que rien ne l'y concerne, à première vue.

Salut, poli, de part et d'autre.

A merveille si, tout de même, n'inquiétait je ne sais quel miroitement, en dessous, mal séparable de la surface concédée à la rétine, il attire le soupçon: les malins, entre le public, s'emparant de le conduire, déclarent, avec sérieux, que, juste, la teneur est inintelligible.

Malheur ridiculement à qui tombe sous le coup, il est enveloppé dans une plaisanterie immense et médiocre: ainsi toujours – pas tant, peut-être, que ne sévit, avec ensemble et excès, maintenant, le fléau.

Il doit y avoir quelque chose d'occulte au fond de tous, je crois décidément à quelque chose d'abscons, signifiant fermé et caché, qui habite le commun: car, sitôt cette masse jetée vers quelque trace que c'est une réalité, existant, par exemple, sur une feuille de papier, dans tel écrit, pas en soi – cela qui est obscur: elle s'agite, ouragan jaloux d'attribuer les ténèbres à quelque chose d'autre, profusément, flagramment.

Sa crédulité vis-à-vis de plusieurs qui la soulagent, en faisant affaire, bondit à l'infini: et le suppôt d'Ombre, selon eux désigné ne placera un mot dorénavant, qu'avec un secouement que ç'ait été elle, l'arcane, elle ne tranche, par un coup d'éventail de ses jupes: "Comprends pas!" – l'innocent annonçât-il se moucher.

[215] Or, suivant l'instinct de rythmes qui l'élut, le poëte ne se défend de voir un manque de proportion entre le moyen déchaîné et le résultat

Les individus, à son avis, ont tort, dans un dessein avéré propre parce qu'ils puisent, certes, à quelque encrier sans Nuit, la terne couche suffisante d'intelligibilité que lui s'oblige, aussi, à maintenir, mais pas seule – ils agissent peu délicatement, en précipitant à pareil accès la Foule (où inclus le Génie) que de déverser, dans un chahut, la vaste incompréhension humaine.

A propos de ce qui n'importait pas.

– Jouant la partie, gratuitement ou dans un intérêt mineur: exposant notre Dame et Patronne à montrer sa déhiscence ou sa lacune, à l'égard de quelques rêves, comme la mesure à quoi tout se réduit.

Je sais, de fait, qu'ils se poussent en scène et assument, dans la parade, eux, la posture humiliante; puisque arguer d'obscurité – ou, nul ne saisira s'ils ne saisissent et ils ne saisissent pas – implique un renoncement antérieur à juger.

Quoique représentatif, le scandale s'ensuit, hors rapport avec l'intérêt

– Quant à une entreprise, du moins, qui ne compte pas, littérairement

– La leur

– D'exhiber les choses à un imperturbable premier plan, en camelots, activés par la pression de l'instant, d'accord – écrire, dans le cas, pourquoi, indûment, sauf pour étaler la banalité; plutôt que tendre le nuage, précieux, flottant sur l'intime gouffre de chaque pensée, vu que vulgaire l'est ce à quoi on décerne, pas plus, un caractère immédiat. Si crûment – qu'en place du labyrinthe illuminé par des fleurs, où convie le loisir, ces ressasseurs, malgré que je me gare d'image pour les mettre, en personne "au pied du mur", imitent, sur une route migraineuse, la résurrection en plâtras, debout, de l'interminable aveuglement, sans jet d'eau à l'abri ni verdures pointant par dessus, que les culs de bouteille et les tessons ingrats.

[216] Même la réclame hésite à s'y inscrire.



Dites, comme si une clarté, à jet continu; ou qu'elle ne prît, par d'interruptions, le caractère, momentané, de délivrance.


La Musique, à date sage, est venue balayer l'erreur.

Ainsi, au cours, seulement, du morceau, à travers des voiles feints, ceux-là quant à nous-mêmes, le sujet se dégage de leur successive stagnance amassée et dissoute par un art.

Cette disposition l'habituelle.

On peut, du reste, commencer d'un éclat triomphal trop soudain pour durer: invitant que se groupe, en retards, libérés par l'écho, notre surprise.

L'inverse: seront, en un reploiement noir soucieux d'attester l'état d'esprit sur un point, foulés et épaissis des doutes afin que sorte une splendeur définitive simple.

Le procédé – jumeau – intellectuel, notable dans les symphonies, qui le trouvèrent au répertoire de la nature et du ciel.


Je sais, on veut à la Musique, limiter le Mystère; quand l'écrit y prétend.

Les déchirures suprêmes instrumentales, conséquences d'enroulements transitoires, éclatent plus véridiques, à même, dans leur argumentation de lumière, qu'aucun raisonnement tenu jamais: un lettré s'interroge, par quels termes du vocabulaire sinon dans l'idée, en écoutant, il les saura traduire, à cause de leur vertu incomparable. La directe adaptation s'exerce avec je ne sais, dans ce contact, le sentiment glissé qu'un mot détonnerait, par intrusion.

[217] L'écrit, envol d'abstraction ou tacite, prend, néanmoins, ses droits en face de la chute des sons nus: tous deux, Musique et lui, intiment une disjonction, celle de la parole, certainement par horreur de fournir au bavardage. Unique aventure contradictoire, où ceci descend; dont s'évade cela, mais non sans traîner les gazes de l'origine.



<Tout>, à part, bas ou pour me recueillir. Je partis d'intentions, comme on demande du style – neutre l'imagine-t-on – que son expression ne fonce par un plongeon ni ne ruisselle en éclaboussures jaillies: étranger à l'alternative qui est la Loi.

Quel pivot – j'entends – dans ces contrastes, à l'intelligibilité? il faut une garantie


– La Syntaxe.

– Pas ses tours primesautiers seuls, inclus aux facilités de la conversation; quoique l'artifice excelle pour convaincre. Un parler, le français, retient une élégance à paraître en négligé et le passé témoigne de cette qualité, qui s'établit d'abord, comme don de race foncièrement exquis: mais une littérature dépasse le genre, correspondance ou mémoires. Les cas abrupts, hauts jeux d'aile, se mireront, aussi: qui les traite, perçoit une extraordinaire appropriation de la structure, limpide, aux primitives foudres de la logique. Un balbutiement, que semble la phrase, ici refoulé dans l'emploi d'incidentes multiple, se compose et s'enlève en quelque équilibre supérieur, à balancement prévu d'inversions.

S'il plaît à un, que surprend l'envergure, d'incriminer.. ce sera la Langue, dont voici l'ébat.

Les mots, d'eux-mêmes, s'exaltent à mainte facette produite la plus rare ou valant pour l'esprit, centre du suspens vibratoire, qui les perçoit indépendamment de la suite ordinaire, projetés, comme en parois de grotte, tant que dure la mobilité, ou principe, étant ce qui ne [218] se dit pas du discours: prompts tous, avant extinction, à leur réciprocité de feux distante ou présentée de biais comme une contingence.


Le débat, que l'évidence moyenne nécessaire dévie en un détail, reste de grammairiens. Même un infortuné se trompât-il à chaque occasion, la différence avec le gâchis en faveur couramment ne marque tant, qu'un besoin naisse de le distinguer de dénonciateurs; mais il récuse l'injure d'obscurité – pourquoi pas, parmi le fonds commun, d'autres d'incohérence, de rabâchage, de plagiat, sans recourir à quelque blâme spécial et préventif – ou encore une, de platitude: mais celle-ci, personnelle, aux gens qui, pour décharger le public de comprendre, les premiers affectent une incompétence.

Je préfère, devant l'agression, rétorquer que des contemporains ne savent pas lire.

– Autrepart que dans le journal; il dispense, certes, l'avantage de n'interrompre le chœur des préoccupations.

Lire

– Cette pratique

– Appuyer, selon la page, au blanc, qui l'inaugure, son ingénuité, à soi, oublieuse même d'un titre qui parlerait trop haut: et, quand s'aligna, dans une brisure, la moindre, disséminée, le hasard vaincu, mot par mot, indéfectiblement le blanc revient, tout-à-l'heure gratuit, certain maintenant, pour apprendre que rien ne s'éluciderait au-delà et authentiquer le silence.

L'air ou chant, <sous> le texte, conduisant d'ici là une divination, y applique son motif en fleuron et cul-de-lampe invisibles

Virginité qui solitairement, devant une transparence <du> regard adéquat, elle-même s'est comme divisée en ses fragments de candeur, l'un et l'autre – preuves nuptiales de l'Idée.

 

 

 

 

Erstdruck und Druckvorlage

La revue blanche.
Bd. 11, 1896, Nr. 78, 1. September, S. 214-218. [PDF]

Gezeichnet: Stéphane Mallarmé.

Die Textwiedergabe erfolgt nach dem ersten Druck (Editionsrichtlinien).

Zur Druckgeschichte vgl.
Mallarmé: Œuvres complètes. Bd. 2. Hrsg. von Bertrand Marchal.
Paris 2003 (= Bibliothèque de la Pléiade, 497), S. 1648-1649.


La revue blanche   online
URL: https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb34430449p/date
URL: http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb344304470/date
URL: https://catalog.hathitrust.org/Record/000675126

La revue blanche   inhaltsanalytische Bibliographie.
URL: https://fr.wikisource.org/wiki/La_Revue_blanche

 

 

Mit Änderungen aufgenommen in

 

Kommentierte und kritische Ausgaben

 

Übersetzungen ins Deutsche

 

 

 

Werkverzeichnis


Verzeichnisse

Mallarmé: Œuvres complètes. 2 Bde. Hrsg. von Bertrand Marchal.
Paris: Gallimard 1998 u. 2003 (= Bibliothèque de la Pléiade, 65 u. 497).
Bd. 1, S. 1453-1477: Bibliographie.
Bd. 2, S. 1821-1834: Bibliographie.


Imbert, Maurice: Une bibliographie des écrits de Stéphane Mallarmé (1842-1898).
Tusson: du Lérot 2011.



Mallarmé, Stéphane: L'après-midi d'un faune. Églogue.
Paris: Derenne 1876.
URL: http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k70715c

Mallarmé, Stéphane: Album de vers & de prose.
Bruxelles: Librairie Nouvelle; Paris: Librairie Universelle 1887.
URL: http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k710599

Mallarmé, Stéphane: Les poésies de Stéphane Mallarmé: photolithographiées du manuscrit définitif [...].
Paris: la Revue indépendante 1887.
URL: http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k713501

Les Poèmes d'Edgar Poe. Traduction de Stéphane Mallarmé.
Bruxelles: Deman 1888.
URL: http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k10567106

Mallarmé, Stéphane: Pages.
Bruxelles: Deman 1891.
URL: http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k71043x

Mallarmé, Stéphane: Vers et Prose. Morceaux choisis.
Paris: Perrin 1893.
URL: http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k71060h
URL: https://archive.org/details/versetprosemorce00malluoft   [2e édition 1893]

Mallarmé, Stéphane: Oxford, Cambridge. La Musique et les Lettres.
Paris: Perrin et Cie 1895.
URL: http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k113400g

Mallarmé, Stéphane: Divagations.
Paris: Fasquelle 1897.
URL: http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b8626855p
URL: https://archive.org/details/divagations00mall


Mallarmé, Stéphane: Poésies.
Bruxelles: Deman 1899.
URL: http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b8626858x

Mallarmé, Stéphane: Un coup de dés jamais n'abolira le hasard.
Paris: Nouvelle Revue française 1914.
URL: http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k71351c
URL: https://archive.org/details/uncoupdedsjamai00mallgoog

 

 

 

Literatur: Mallarmé

Bivort, Olivier: Obscurité de la langue, clarté de la poésie. In: La Littérature symboliste et la Langue. Hrsg. von Olivier Bivort. Paris 2012 (= Rencontres, 38), S. 75-88.

Brandmeyer, Rudolf: Poetiken der Lyrik: Von der Normpoetik zur Autorenpoetik. In: Handbuch Lyrik. Theorie, Analyse, Geschichte. Hrsg. von Dieter Lamping. 2. Aufl. Stuttgart 2016, S. 2-15.

Brandt, R. / Fröhlich, J. / Seidel, K. O.: Art. Obscuritas. In: Historisches Wörterbuch der Rhetorik. Bd. 6. Tübingen 2003, Sp. 358-383.

Christen, Felix: "ins Sprachdunkle". Theoriegeschichte der Unverständlichkeit 1870-1970. Göttingen 2021.

Dayan, Peter: L'obscurité, entre Mallarmé et Proust. In: Visions/Revisions. Essays on Nineteenth-Century French Culture. Hrsg. von Nigel Harkness u.a. Oxford u.a. 2003, S. 261-274.

Durand, Pascal: L'"occulte au fond de tous". Introduction au "Mystère dans les lettres". In: Écrire l'énigme. Hrsg. von Christelle Reggiani u.a. Paris 2007, S. 37-48.

Emmrich, Thomas: Das Subjekt der Lyrik oder: Für eine Philologie der Dunkelheit – Lyrik als (ein) Paradigma der Moderne. In: German Life and Letters 73 (2020), S. 521-540.
URL: https://doi.org/10.1111/glal.12280

Marchal, Bertrand: La religion de Mallarmé. Poésie, mythologie et religion. Paris 1988.
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Marchal, Bertrand: Mallarmé et le "signe par excellence". In: Courrier du Centre International d'Études Poétiques. Nr. 255, Jan.-März 2000, S. 29-43.

Marchal, Bertrand: Proust et Mallarmé. In: Bulletin d'informations proustiennes 40 (2010), S. 57-75.

Muhlfeld, Lucien: Sur la Clarté. In: La revue blanche. Bd. 11, 1896, Nr. 75, 15. Juli, S. 73-82.
URL: https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb34430449p/date
URL: http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb344304470/date
URL: https://catalog.hathitrust.org/Record/000675126

Philippe, Gilles / Piat, Julien (Hrsg.): La langue littéraire. Une histoire de la prose en France de Gustave Flaubert à Claude Simon. Paris 2009.
Vgl. bes. S. 235-279.

Proust, Marcel: Contre l'Obscurité. In: La revue blanche. Bd. 11, 1896, Nr. 75, 15. Juli, S. 69-72.
URL: https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb34430449p/date
URL: http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb344304470/date
URL: https://catalog.hathitrust.org/Record/000675126

Oueslati, Salah: Le lecteur dans les Poésies de Stéphane Mallarmé. Louvain-La-Neuve 2009.

Radley, Hilton: The Twilight of the Poets. In: The Westminster Review. Bd. 173, 1910, Nr. 6, Juni, S. 657-662. [PDF]

Stoellger, Philipp (Hrsg.): Genese und Grenzen der Lesbarkeit. Würzburg 2007.

Wolfskehl, Karl: Über die dunkelheit. In: Blätter für die Kunst. Dritte Folge, V. Band, Oktober 1896, S. 140-143.
URL: http://digital.wlb-stuttgart.de/purl/bsz494637528

Zambon, Francesco: Brève histoire de l'obscurité poétique. Nice 2023.

Zymner, Rüdiger: Die Unverständlichkeit der Lyrik. In: Studia theodisca 31 (2024), S. 1-33.

 

 

Literatur: La Revue blanche

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Bernier, Georges: La Revue blanche: ses amis, ses artistes. Paris 1991.

Bourrelier, Paul-Henri: La revue blanche: une génération dans l'engagement, 1890-1905. Paris 2007.

Curatolo, Bruno (Hrsg.): Dictionnaire des revues littéraires au XXe siècle. Domaine français. Bd. 2, Paris 2014, S. 1087-1090.

Dessy, Clément: La Revue blanche et les Nabis. Une esthétique de la fragmentation. In: TRANS-revue de littérature générale et comparée 8 (2009).
URL: http://journals.openedition.org/trans/350

Dessy, Clément: Une esthétique de la rue. La Revue blanche au cœur de la ville. In: Romantisme 171 (2016), S. 74-88.
DOI: https://doi.org/10.3917/rom.171.0074

Eisenhut, Ulrike: Zwischen Autonomie und Authentizität – Kritisches Schreiben in der Revue blanche. Heidelberg 2014.

Fréchet, Patrick: Bibliographie des éditions de La Revue blanche, 1892-1902. Tusson 2006.

Genova, Pamela A.: Symbolist Journals. A Culture of Correspondence. Aldershot u.a. 2002 (= Studies in European Cultural Transition, 13).

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URL: https://theses.hal.science/file/index/docid/743016/filename/thA_se_Matthieu_Gosztola_La_critique_littA_raire_d_Alfred_Jarry_A_La_Revue_blanche.pdf

Grilli, Elisa / Stead, Evanghelia: Between Symbolism and Avant-Garde Poetics: La Plume (1889-1905), L'Ermitage (1890-1906); and La Revue blanche (1890-1903). In: The Oxford Critical and Cultural History of Modernist Magazines. Hrsg. von Peter Brooker u.a. Bd. 3: Europe 1880-1940. Oxford 2013, S. 76-100.

Jackson, Arthur B.: Les critiques de la "Revue Blanche" (1889-1903). In: Revue des Lettres Modernes 25/26 (1957), S. 1-47.

Jackson, Arthur B.: La revue blanche, 1889-1903. Origine, influence, bibliographie. Paris 1960.

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Scholes, Robert / Wulfman, Clifford: Modernism in the Magazines. An Introduction. New Haven u. London 2010.
La Revue blanche passim.

Stead, Évanghélia / Védrine, Hélène (Hrsg.): L'Europe des revues II (1860-1930). Réseaux et circulations des modèles. Paris 2018.

Tardif, Marie-Pier: Une radicalisation fin de siècle: politique de la littérature et figure de l'écrivain engagé dans le discours de La Revue blanche (1894-1898). Mémoire. Montréal (Québec, Canada), Université du Québec à Montréal 2015.
URL: http://archipel.uqam.ca/id/eprint/8179

Thérenty, Marie-Ève u.a. (Hrsg.): Presse et plumes. Journalisme et littérature au XIXe siècle. Paris 2004.

Vérilhac, Yoan: La Jeune Critique des petites revues symbolistes. Saint-Étienne 2010 (= Collection "Le XIXe siècle en représentation(s)").

 

 

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