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Literatur: Mallarmé
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Texte zur Mallarmé-Rezeption
De pures prérogatives seraient, cette fois, à la merci des bas farceurs
– Tout écrit, extérieurement à son trésor, doit, par égard envers ceux dont
il emprunte, après tout, pour un objet autre, le langage, s'il traîne
présenter, avec les mots, un sens même indifférent: on gagne de détourner
l'oisif, charmé que rien ne l'y concerne, à première vue.
Salut, poli, de part et d'autre.
A merveille si, tout de même, n'inquiétait je ne sais quel miroitement,
en dessous, mal séparable de la surface concédée à la rétine, il attire
le soupçon: les malins, entre le public, s'emparant de le conduire,
déclarent, avec sérieux, que, juste, la teneur est inintelligible.
Malheur ridiculement à qui tombe sous le coup, il est enveloppé dans
une plaisanterie immense et médiocre: ainsi toujours – pas tant,
peut-être, que ne sévit, avec ensemble et excès, maintenant, le fléau.
Il doit y avoir quelque chose d'occulte au fond de tous, je crois
décidément à quelque chose d'abscons, signifiant fermé et caché,
qui habite le commun: car, sitôt cette masse jetée vers quelque
trace que c'est une réalité, existant, par exemple, sur une feuille
de papier, dans tel écrit, pas en soi – cela qui est obscur: elle
s'agite, ouragan jaloux d'attribuer les ténèbres à quelque chose
d'autre, profusément, flagramment.
Sa crédulité vis-à-vis de plusieurs qui la soulagent, en faisant
affaire, bondit à l'infini: et le suppôt d'Ombre, selon eux désigné
ne placera un mot dorénavant, qu'avec un secouement que ç'ait été elle,
l'arcane, elle ne tranche, par un coup d'éventail de ses jupes:
"Comprends pas!" – l'innocent annonçât-il se moucher.
[215] Or, suivant l'instinct de rythmes qui l'élut, le poëte ne se défend
de voir un manque de proportion entre le moyen déchaîné et le résultat
Les individus, à son avis, ont tort, dans un dessein avéré propre
parce qu'ils puisent, certes, à quelque encrier sans Nuit, la terne
couche suffisante d'intelligibilité que lui s'oblige, aussi, à
maintenir, mais pas seule – ils agissent peu délicatement, en
précipitant à pareil accès la Foule (où inclus le Génie) que de
déverser, dans un chahut, la vaste incompréhension humaine.
A propos de ce qui n'importait pas.
– Jouant la partie, gratuitement ou dans un intérêt mineur:
exposant notre Dame et Patronne à montrer sa déhiscence ou sa
lacune, à l'égard de quelques rêves, comme la mesure à quoi tout
se réduit.
Je sais, de fait, qu'ils se poussent en scène et assument, dans
la parade, eux, la posture humiliante; puisque arguer
d'obscurité – ou, nul ne saisira s'ils ne saisissent et ils
ne saisissent pas – implique un renoncement antérieur à juger.
Quoique représentatif, le scandale s'ensuit, hors rapport avec
l'intérêt
– Quant à une entreprise, du moins, qui ne compte pas, littérairement
– La leur
– D'exhiber les choses à un imperturbable premier plan, en camelots,
activés par la pression de l'instant, d'accord – écrire, dans le cas,
pourquoi, indûment, sauf pour étaler la banalité; plutôt que tendre
le nuage, précieux, flottant sur l'intime gouffre de chaque pensée,
vu que vulgaire l'est ce à quoi on décerne, pas plus, un caractère
immédiat. Si crûment – qu'en place du labyrinthe illuminé par des
fleurs, où convie le loisir, ces ressasseurs, malgré que je me gare
d'image pour les mettre, en personne "au pied du mur", imitent,
sur une route migraineuse, la résurrection en plâtras, debout, de
l'interminable aveuglement, sans jet d'eau à l'abri ni verdures
pointant par dessus, que les culs de bouteille et les tessons ingrats.
[216] Même la réclame hésite à s'y inscrire.
Dites, comme si une clarté, à jet continu; ou qu'elle ne prît,
par d'interruptions, le caractère, momentané, de délivrance.
La Musique, à date sage, est venue balayer l'erreur.
Ainsi, au cours, seulement, du morceau, à travers des voiles
feints, ceux-là quant à nous-mêmes, le sujet se dégage de leur
successive stagnance amassée et dissoute par un art.
Cette disposition l'habituelle.
On peut, du reste, commencer d'un éclat triomphal trop soudain
pour durer: invitant que se groupe, en retards, libérés par
l'écho, notre surprise.
L'inverse: seront, en un reploiement noir soucieux d'attester
l'état d'esprit sur un point, foulés et épaissis des doutes
afin que sorte une splendeur définitive simple.
Le procédé – jumeau – intellectuel, notable dans les symphonies,
qui le trouvèrent au répertoire de la nature et du ciel.
Je sais, on veut à la Musique, limiter le Mystère; quand
l'écrit y prétend.
Les déchirures suprêmes instrumentales, conséquences d'enroulements
transitoires, éclatent plus véridiques, à même, dans leur
argumentation de lumière, qu'aucun raisonnement tenu jamais:
un lettré s'interroge, par quels termes du vocabulaire sinon
dans l'idée, en écoutant, il les saura traduire, à cause de leur
vertu incomparable. La directe adaptation s'exerce avec je ne sais,
dans ce contact, le sentiment glissé qu'un mot détonnerait, par
intrusion.
[217] L'écrit, envol d'abstraction ou tacite, prend, néanmoins, ses
droits en face de la chute des sons nus: tous deux, Musique et
lui, intiment une disjonction, celle de la parole, certainement
par horreur de fournir au bavardage. Unique aventure contradictoire,
où ceci descend; dont s'évade cela, mais non sans traîner les
gazes de l'origine.
<Tout>, à part, bas ou pour me recueillir. Je partis d'intentions,
comme on demande du style – neutre l'imagine-t-on – que son
expression ne fonce par un plongeon ni ne ruisselle en éclaboussures
jaillies: étranger à l'alternative qui est la Loi.
Quel pivot – j'entends – dans ces contrastes, à l'intelligibilité?
il faut une garantie
– La Syntaxe.
– Pas ses tours primesautiers seuls, inclus aux facilités de la
conversation; quoique l'artifice excelle pour convaincre. Un parler,
le français, retient une élégance à paraître en négligé et le passé
témoigne de cette qualité, qui s'établit d'abord, comme don de race
foncièrement exquis: mais une littérature dépasse le genre, correspondance
ou mémoires. Les cas abrupts, hauts jeux d'aile, se mireront, aussi:
qui les traite, perçoit une extraordinaire appropriation de la structure,
limpide, aux primitives foudres de la logique. Un balbutiement, que
semble la phrase, ici refoulé dans l'emploi d'incidentes multiple,
se compose et s'enlève en quelque équilibre supérieur, à balancement
prévu d'inversions.
S'il plaît à un, que surprend l'envergure, d'incriminer.. ce sera la
Langue, dont voici l'ébat.
Les mots, d'eux-mêmes, s'exaltent à mainte facette produite la plus
rare ou valant pour l'esprit, centre du suspens vibratoire, qui les
perçoit indépendamment de la suite ordinaire, projetés, comme en parois
de grotte, tant que dure la mobilité, ou principe, étant ce qui ne
[218] se
dit pas du discours: prompts tous, avant extinction, à leur réciprocité
de feux distante ou présentée de biais comme une contingence.
Le débat, que l'évidence moyenne nécessaire dévie en un détail, reste
de grammairiens. Même un infortuné se trompât-il à chaque occasion, la
différence avec le gâchis en faveur couramment ne marque tant, qu'un
besoin naisse de le distinguer de dénonciateurs; mais il récuse l'injure
d'obscurité – pourquoi pas, parmi le fonds commun, d'autres d'incohérence,
de rabâchage, de plagiat, sans recourir à quelque blâme spécial et
préventif – ou encore une, de platitude: mais celle-ci, personnelle,
aux gens qui, pour décharger le public de comprendre, les premiers
affectent une incompétence.
Je préfère, devant l'agression, rétorquer que des contemporains ne
savent pas lire.
– Autrepart que dans le journal; il dispense, certes, l'avantage de
n'interrompre le chœur des préoccupations.
Lire
– Cette pratique
– Appuyer, selon la page, au blanc, qui l'inaugure, son ingénuité,
à soi, oublieuse même d'un titre qui parlerait trop haut: et, quand
s'aligna, dans une brisure, la moindre, disséminée, le hasard vaincu,
mot par mot, indéfectiblement le blanc revient, tout-à-l'heure gratuit,
certain maintenant, pour apprendre que rien ne s'éluciderait
au-delà et authentiquer le silence.
L'air ou chant, <sous> le texte, conduisant d'ici là une divination,
y applique son motif en fleuron et cul-de-lampe invisibles
Virginité qui solitairement, devant une transparence <du> regard adéquat, elle-même s'est comme divisée en ses fragments de candeur, l'un et l'autre – preuves nuptiales de l'Idée.
Erstdruck und Druckvorlage
La revue blanche.
Bd. 11, 1896, Nr. 78, 1. September, S. 214-218.
[PDF]
Gezeichnet: Stéphane Mallarmé.
Die Textwiedergabe erfolgt nach dem ersten Druck
(Editionsrichtlinien).
Zur Druckgeschichte vgl.
Mallarmé: Œuvres complètes.
Bd. 2. Hrsg. von Bertrand Marchal.
Paris 2003 (= Bibliothèque de la Pléiade, 497), S. 1648-1649.
La revue blanche online
URL: https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb34430449p/date
URL: http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb344304470/date
URL: https://catalog.hathitrust.org/Record/000675126
La revue blanche inhaltsanalytische Bibliographie.
URL: https://fr.wikisource.org/wiki/La_Revue_blanche
Mit Änderungen aufgenommen in
Kommentierte und kritische Ausgaben
Übersetzungen ins Deutsche
Werkverzeichnis
Verzeichnisse
Mallarmé: Œuvres complètes.
2 Bde. Hrsg. von Bertrand Marchal.
Paris: Gallimard 1998 u. 2003
(= Bibliothèque de la Pléiade, 65 u. 497).
Bd. 1, S. 1453-1477: Bibliographie.
Bd. 2, S. 1821-1834: Bibliographie.
Imbert, Maurice: Une bibliographie des écrits de Stéphane Mallarmé (1842-1898).
Tusson: du Lérot 2011.
Mallarmé, Stéphane: L'après-midi d'un faune. Églogue.
Paris: Derenne 1876.
URL: http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k70715c
Mallarmé, Stéphane: Album de vers & de prose.
Bruxelles: Librairie Nouvelle;
Paris: Librairie Universelle 1887.
URL: http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k710599
Mallarmé, Stéphane: Les poésies de Stéphane Mallarmé:
photolithographiées du manuscrit définitif [...].
Paris: la Revue indépendante 1887.
URL: http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k713501
Les Poèmes d'Edgar Poe.
Traduction de Stéphane Mallarmé.
Bruxelles: Deman 1888.
URL: http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k10567106
Mallarmé, Stéphane: Pages.
Bruxelles: Deman 1891.
URL: http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k71043x
Mallarmé, Stéphane: Vers et Prose.
Morceaux choisis.
Paris: Perrin 1893.
URL: http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k71060h
URL: https://archive.org/details/versetprosemorce00malluoft [2e édition 1893]
Mallarmé, Stéphane: Oxford, Cambridge.
La Musique et les Lettres.
Paris: Perrin et Cie 1895.
URL: http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k113400g
Mallarmé, Stéphane: Divagations.
Paris: Fasquelle 1897.
URL: http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b8626855p
URL: https://archive.org/details/divagations00mall
Mallarmé, Stéphane: Poésies.
Bruxelles: Deman 1899.
URL: http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b8626858x
Mallarmé, Stéphane: Un coup de dés jamais n'abolira le hasard.
Paris: Nouvelle Revue française 1914.
URL: http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k71351c
URL: https://archive.org/details/uncoupdedsjamai00mallgoog
Literatur: Mallarmé
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URL: https://catalog.hathitrust.org/Record/000675126
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Literatur: La Revue blanche
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Vérilhac, Yoan: La Jeune Critique des petites revues symbolistes.
Saint-Étienne 2010 (= Collection "Le XIXe siècle en représentation(s)").
Edition
Lyriktheorie » R. Brandmeyer